Comme un berceau
sur le fil du ciel,
la lune sourit
au passager du soir.
Quelle tunique
vêt les rêves
quand le regard
est ainsi perdu ?
Dans l’ornière bleue
d’une comète vive,
un arbre-nuages
a enclos mon imaginaire.
Le jardin des étoiles
est un pré d’âmes
et l’univers murmure
un doux bonsoir.
Sandra Dulier, Plume Funambule
Très agréable à lire
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Merci !
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Très joli poème, qui a fait s’envoler mon imaginaire onirique !
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Merci Julie.
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Très tendre poème mais j’aurais peut-être préféré » éclos » à « enclos l’imaginaire….
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Jolie variation, effectivement. Merci pour votre lecture.
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